La Monnaie / De Munt La Monnaie
De Munt
Behind the scenes
Dans les coulisses de l’opéra
Hugo Segers

Salles de répétition

Malibran

Ateliers

La salle Malibran est destinée aux répétitions scéniques. C’est ici que la mise en scèneMise en scène - Mise en œuvre de tous les éléments qui composent le spectacle : jeu des acteurs, décors, lumière, rythme, ... Elle imagine un univers esthétique et propose une interprétation de l’opéra.     imaginée depuis des mois prend enfin vie !

Environ six semaines avant la premièrePremière - Première représentation publique d’un opéra.   de l’opéra, les chanteurs solistes arrivent à la Monnaie. Tous connaissent alors déjà toute la partitionPartition - Document contenant plusieurs symboles (dont les notes) permettant de lire et jouer de la musique.  par coeur. 

Constance Proux
Répétitions Trilogia (2020)

On commence les répétitions dans des décors de substitution. Les premières scènes se dessinent, s’expérimentent, prennent forme.

Pieter Claes
Répétitions Cassandra (2023)

Débute alors un véritable travail d’acteur : on cherche les déplacements, les positionnements mais aussi et surtout les émotions, les attitudes, les expressions, les gestes des personnages, leurs rapports les uns aux autres.

Hugo Segers
Répétitions Le Conte du tsar Saltane (2023)

Et c’est parfois très physique ! À l’opéra on chante en dansant, on peut être couché, suspendu, dans l’eau, dans des voitures en feu...et dans bien d’autres situations incongrues !

Hugo Segers
Répétitions The Time of Our Singing (2021)

C’est le/la metteur/metteuse en scène qui mène la danse de ces répétitions, mais le/la chef/cheffe d’orchestre est aussi présent(e). Ces répétitions sont accompagnées par un piano (l'orchestre répète parallèlement dans une autre salle). 

Simon Van Rompay

Lulu (2021)

La soprano Barbara Hannigan répète Lulu avec le metteur en scène Krzysztof Warlikowski et le chef d'orchestre Alain Altinoglu

Pourquoi "Malibran" ?

Cette grande salle de répétition de 555 m2, tient son nom de la célèbre cantatrice Maria Malibran qui habita Bruxelles à la fin des années 1820. On dit de la Malibran qu’elle pouvait chanter en pleurant !